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Art en droit : Charles Camoin (Le Journal des Arts)


Découvrez le dernière chronique "Art en droit" de Maître Pierre Noual pour Le Journal des Arts. Cette semaine, Charles Camoin : même abandonnées par l’artiste, les œuvres restent les siennes



Découvrez le dernier article de Maître Pierre Noual pour Le Journal des Arts relatif à l'état du droit applicable aux éco vandales

 

Les œuvres mises à la poubelle en 1912 par Charles Camoin n’empêchent pas l’artiste de s’opposer à leur reconstitution ultérieure, au nom du droit de divulgation.


Tanger, 1912. Charles Camoin (1879-1965) passe l’hiver en compagnie de son ami Henri Matisse. Sous le soleil méditerranéen, l’artiste songe au Salon d’automne de 1905 où il a été remarqué aux côtés d’André Derain, Henri Manguin, Albert Marquet ou Maurice de Vlaminck. Il est vrai que ces « fauves », selon le terme forgé par le critique d’art Louis Vauxcelles, ont une caractéristique bien commune : l’utilisation d’une couleur libérée, explosive et violente. Resté sensible à l’esprit « impressionniste », Camoin doute. Il se confie à Matisse. L’échange est sans nul doute décisif car, à son retour en France, l’artiste réévalue son œuvre [...].


Pour découvrir l'article en intégralité de Maître Pierre Noual, rendez-vous sur lejournaldesarts.fr ou en kiosque (édition datée du 18 octobre 2024).



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Dans le cadre de son activité dédiée au patrimoine culturel et artistique, Pierre Noual - Avocat répond à vos interrogations et vous accompagne : contactez-nous !

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